28.08.2014

28 - 29 - 30 august 2014

Triduum de rugăciune

Ca pregătire pentru celebrarea aniversării a un an de la Beatificarea Monseniorului Vladimir Ghika.



31 august 2013 - 31 augsut 2014

Dacă doriți să retrăiți evenimentul din 2013:

17.08.2014

A propos du Bienheureux Vladimir GHIKA (49)

Michel PRAT, oblat bénédictin

Monseigneur Vladimir Ghika, dans son livre “Pensées pour la suite des jours” - page 27 Ed. Beauchesne - a écrit:
“Plutôt que de donner lui-même aux indigents les biens dont il dispose, un père aime mieux se servir de la main de ses enfants, sous ses yeux, et son cœur se réjouit à cette vue, d’une nouvelle joie.
Ainsi Dieu aime, plus que tout, faire par notre entremise le bien qu’il fait en ce monde. Et l’on y sent, de sa part, comme une joie doublée.”

Les relations de Dieu avec les hommes, ses créatures, est comparée avec la relation d’un père avec ses enfants. La première fois dans l’Evangile où Dieu est comparé à un père, c’est peut-être en Mt 1, 18-25. Marie, mère de Jésus, est fiancée à Joseph. Ils avaient le projet de se marier et d’avoir des enfants. L’intervention de l’ange du Seigneur met sur le même niveau Dieu qui, par l’Esprit Saint, donnera à Marie de concevoir un Fils, et le père légal de Jésus, Joseph.
Joseph assume la paternité légale de Jésus et Dieu est père, Père de Jésus, ceci dès le chapitre 1 du premier des 4 évangiles.
Cette pensée du Bienheureux Vladimir Ghika rappelle tout à fait le passage sur l’efficacité de la prière en Mt 7, 9-11: “Quel est d’entre vous l’homme auquel son fils demandera du pain et qui lui remettra une pierre? Ou encore s’il lui demande un poisson, lui remettra-t-il un serpent? Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus votre Père qui est dans les cieux en donnera-t-il de bonnes à ceux qui l’en prient!”

Dans l’Evangile de Marc, Mc 1, 11: ”et une voix vint des cieux: ”Tu es mon Fils bien-aimé, tu as toute ma faveur.”” Dès le premier chapitre aussi, Dieu est Père.

Dans l’Evangile de Luc, Lc 2, 48-49, on retrouve la paternité légale assumée par Joseph et Dieu, père de Jésus: “A sa vue, ils furent saisis d’émotion, et sa mère lui dit: “ Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela? Vois! ton père et moi, nous te cherchons, angoissés.” Et il leur dit: ”Pourquoi donc me cherchiez-vous? Ne saviez-vous pas que je dois être dans la maison de mon Père?”” Jésus revendique avec Dieu des relations qui passent avant celles de la famille humaine.

Dans les quatre Évangiles, traduction liturgique de 2013, le mot “Père” revient 256 fois.

A SUIVRE...

04.08.2014

A propos du Bienheureux Vladimir GHIKA (48)

Michel PRAT, oblat bénédictin

  Monseigneur Vladimir Ghika, dans son livre “Pensées pour la suite des jours” - page 27 Ed. Beauchesne - a écrit:
“Nous ne devons nous étonner ni nous plaindre de l’ingratitude. La reconnaissance est plus rare et plus haute que le bienfait. Quand on nous en témoigne on nous donne plus que nous n’avons donné.”

En Lc17, 11-19, lors de la guérison des dix lépreux, il n’y a que l’étranger parmi les dix qui revient sur ses pas pour rendre gloire à Dieu, qui est reconnaissant. Les neuf autres sont ingrats. Jésus s’étonne brièvement de cette situation mais ne condamne pas les absents et récompense celui qui est revenu. Il ne s’étend pas sur l’ingratitude dont il est victime. On rejoint ainsi le passage de la brebis égarée en Mt18, 12-14 où il est écrit que l’homme tire plus de joie de la brebis retrouvée que des quatre vingt dix neuf qui ne se sont pas égarées.(v.13)
Dans le Catéchisme de l’Eglise Catholique (n°2094), il est question de l’ingratitude à propos du premier des dix commandements lors du développement de l’espérance, de la foi et de la charité, et plus particulièrement à propos de la charité: il est dit que “l’ingratitude omet ou récuse de reconnaître la charité divine et de lui rendre en retour amour pour amour.”

Dans la traduction liturgique de la Bible 2013, le mot “ingratitude” est absent du Nouveau Testament et ne se rencontre qu’une seule fois dans l’Ancien Testament en Si29,17.
29,16: Le pécheur dilapide les biens de son garant;
29,17: dans son ingratitude, il abandonne celui qui l’a sauvé.
Ce qui confirmerait la pensée du bienheureux Vladimir et la réaction de Jésus en Lc17, 11-19: nous ne devons ni nous étonner ni nous plaindre de l’ingratitude.

Par contre le mot “ingrat” revient deux fois dans le Nouveau Testament - même traduction - en Lc 6, 35 et 2Tm3, 2.
Lc6, 35: Au contraire, aimez vos ennemis, faites du bien, et prêtez sans rien espérer en retour. Alors votre récompense sera grande, et vous serez les fils du Très-Haut, car lui, il est bon pour les ingrats et les méchants.
2Tm3, 2: En effet, les gens seront égoïstes, cupides, fanfarons, orgueilleux, blasphémateurs, révoltés contre leurs parents, ingrats, sacrilèges,

 A SUIVRE...

Interviu cu Pierre Hayet

Mgr Ghika au Collège des Bernardins

Memorialul Muzeu Mons. Vladimir Ghika

ABMVG Paris - 17.11.2012

Radio Maria Italia parla di Vladimir Ghika

Monseniorul sub nameti, 02/2012

PARIS, AMBVG, 26 XI 2011

Comemorarea inceputului calvarului Monseniorului cu o expozitie la Catedrala Sf. Iosif din Bucuresti

Arhiepiscopul Ioan Robu a celebrat 67 de ani de viața în "compania" Monseniorului

6 noiembrie 2011, Arhiepiscopul Ioan Robu despre Monseniorul

Conferinta domnului Andrei Brezianu la Montreal

Foto Montreal 3/09/2011

Comemorare mons. Vladimir Ghika

Lansare carte MONSENIORUL

Cuvântul domnului academician Eugen Simion

Cuvântul domnului profesor Neagu Djuvara

Cuvântul doamnei conferenţiar Monica Broşteanu

Cuvântul domnului cercetător Emanuel Cosmovici

Cuvântul doamnei profesor Francisca Băltăceanu

Cuvântul doamnei cercetător Lucia Teodor

Cuvântul ÎPS Ioan Robu, Arhiepiscop-Mitropolit de Bucureşti